p 936 AGATA et MARTA dans notre région du Centre
En volley, les supporters de Tchalou ont adopté depuis plusieurs années déjà leur capitaine, Agata Blairon. Cette saison, le club compte dans ses rangs une seconde polonaise, Marta Matejko qui évolue au poste d’attaquante. Les deux joueuses se sentent bien dans la région. Cette semaine elles ont d’ailleurs rencontré des polonais du Centre dans une épicerie spécialisée et sur le site minier de Bois-du-Luc.
Ph. Saintes-Drodziniak les sports sur Antenne Centre
En volley, les supporters de Tchalou ont adopté depuis plusieurs années déjà leur capitaine, Agata Blairon. Cette saison, le club compte dans ses rangs une seconde polonaise, Marta Matejko qui évolue au poste d'attaquante. Les deux joueuses se sentent bien dans la région.
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Agata Blairon-Karaś ( Karache) et Marta Matejko (Matei ko ) sont deux joueuses de volley qui se retrouvent dans le club TCHALOU
ici avec leur coach et entraîneur U. Blairon de notre région aussi, dont la maman et grandsparents maternels étaient de la rue de Namur à Ressaix, et qui est surtout l'époux de Agata
Ugo Blairon (né le 20.05.1985) - entraîneur principal de Belgique qui actuellement travaille pour Tchalou Volley (Belgique). Il y a 7 clubs de volley-ball pour lequel il a travaillé.
https://volleybox.net
Faites connaissance avec notre équipe de LIGA Tchalou Colley Club. un clique sur la photo vous permet d'en savoir plus.
https://www.tchalouteam.be
Ce mardi, nous étions 3 représentants de la Communauté Polonaise du Centre à les accueillir et de leur expliquer dans deux endroits particuliers, l'importance de la descendance polonaise dans la région .
Xavier BRZOZOWSKI qui nous attendait dans son épicerie polonaise à la rue Fernand Gobiet à Ressaix
Philippe SAINTES-DROZDZINIAK (oui sa maman était Polonaise) journaliste sportif à Antenne Centre Télévision
Alexandre KOZLOWSKI de " les Polonais du Centre" et vice-président en Belgique, de l'Union des Polonais créée ...1923 et qui fête son centenaire cette année
Tout cela pour expliquer que nous sommes nombreux, de très nombreux descendants des Polonais ramenés ici essentiellement pour le travail au charbonnage.
Là où il y a des terrils, il y a des Polonais .
La rencontre c'est poursuivie sur le site des Carrés de Bois du Luc.
Pourquoi ?
Parce que dès 1911, des Polonais ont été logés dans les Carrés , en masse, de nombreuses familles , dans ces maisons particulières et au lendemain de la 2e guerre mondiale , tout autant jusqu'à créer une école polonaise du samedi à l'école de la rue du Quinconce, dès le début des années 50 par une association qui en 1954 a commencé régulièrement à occuper la scène de la salle Adamo.
A Bois du Luc, dans les Carrés, où le hasard nous a fait recontrer bien agréablement, toute une équipe polonaise, d'ouvriers couvreurs d'une très grosse firme de toitures bien connue de Châtelet.Je venais de dire aux deux jeunes Polonaises qu'avec un rien d'attention, elles rencontreraient des Polonais partout.